- 3 min 45 : La différence entre l’approche post-coloniale et décoloniale.
- 7 min 15 : « Origines indiennes, noires, populaires, féministes, lesbiennes de ces réflexions. »
- 9 min 15 : La question du mot « racisé » (qui ne renvoie pas à la notion biologique de race) et le processus de « racisation », fondement du développement du capitalisme.
- 14 min : Comment le capitalisme naissant assignait des populations à des tâches induites par leur appartenance ethnique et en fonction du sexe, à une époque (1492) où la race était définie en termes religieux.
- 15 min : Le concept central de « colonialité » (du pouvoir, du savoir et du genre).
- 19 min 45 : « Les personnes racisées sont définies comme dépourvues de genre et ne possédant qu’un sexe au sens animal et biologique – la biologie étant elle-même projetée sur autrui. »
- 21 min 30 : La racialisation implique tous les groupes, dominants comme dominés.
- 23 min 15 : La question de la dénomination des peuples colonisés, exterminés, effacés.
- 26 min 15 : Cosmovision anéantie par la colonialité.
- 27 min 30 : Du féminisme eurocentriste, hiérarchisé (blanc et bourgeois) et des rapports de pouvoir à questionner, pour retrouver l’élaboration propre à des groupes subalternes (indiens, noirs et populaires) par trop souvent invisibilisés depuis 1492.
- 32 min 15 : Du féminisme intersectionnel (qui articule race, classe, genre et sexualité).
- 34 min 30 : Du Combahee Rive Collective face au « système imbriqué » : l’affranchissement aboutira à une société sans races, sans classes, sans sexes.
- 37 min 15 : Un dernier mot adressé aux esprits encalminés refusant de réfléchir à ces questions…
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